Nicolas Moro

Nicolas Moro

STOMPIN'JOE (Blues) le blog

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interview BLUES MAGAZINE

N°89 (juill-août-sept 2018) par Christophe Dameuh Leboeuf

 

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Tournée  Sud Ouest Avril 2018

 

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Interview au Bourbon Street 24/02/2018

 

 

 

 

Jacques GASSER (Réalisateur du film: "LA MEMOIRE DU BLUES") dit de Stompin'Joe:

 

"Stompin' Joe, le bluesman qui rend les gens heureux ! Popularisation du Blues, répertoire musical adapté, interprétation fidèle à l'esprit du Blues, technicité sans faille et un humour naturellement bien à propos. Stompin'Joe distille un Blues festif: en 3 sets, le gaillard vous mène de l'écoute à la danse. Le bougre connaît parfaitement bien ses références américaines et sait comment les transmettre. Après son passage, si vous ne vibrez pas au son du Blues, c'est qu'un réfrigérateur vous habite ! "

 

Bleu Poitou Live, l'émission live de France Bleu Poitou, invite Stompin' Joe. Découvrez son univers blues à 8h50, 11h45 et 16h30. #BleuPoitouLive (Semaine du 18 septembre 2017)

https://www.facebook.com/FranceBleuPoitouofficiel/videos/1530862013641682/?hc_ref=ARSwCM3GwAcAqACh7foKzCr9b6tslZ8v1-LoVvbKj4BO6zN0KxIKYd4mtiWdUmJgEOU

 

Pendant les balances:

https://www.facebook.com/FranceBleuPoitouofficiel/videos/1530854620309088/?hc_ref=ARS_uA3xZU8VCuiuuZ-vjbRqpyiw7mu662yQZryXuwlXOH7sfFJhH5Xeae2Vn13DX54

 

Le replay:

https://www.francebleu.fr/emissions/bleu-poitou-live/poitou/bleu-poitou-live-avec-stompin-joe

La presse en parle :

L'album : " Stompin' Joe & Co" chroniqué dans le dernier Soul Bag mag :

" Nicolas Moreau, alias Stompin' Joe, propose du blues instrumental sur lequel il joue, très bien, de presque tout, guitares, mandoline, banjo, harmonica, percussions, accompagné à l'occasion par des instruments à vent ou à cordes, dont la contrebasse de Stéphane Barral ou le frottoir de Cajoune Girard. Le disque résultant est revigorant, poétique, dansant, comme un baume blues, jazz et ragtime, sur nos oreilles fatiguées des agressions de la vie quotidienne." 
Christophe Mourot.

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"Au fin fond du bayou poitevin, dans une cabane aux planches disjointes, vit sobrement Stompin’Joe. Sans wi-fi ni plan de carrière, il joue. Primitive jazz? Early blues ? Va savoir. Les deux sans doute. Ou l’inverse. 
Pour son premier album, sa mule l’a traîné jusqu’à la Nouvelle-Poitiers où ses guitares, son banjo, sa mandoline, son harmonica, sa guimbarde... ont rencontré une clarinette, un cornet, un trombone, un tuba, un washboard, que sais-je encore ?
Résultat : treize compositions instrumentales belles comme votre première galette Okeh. Acoustique, électrique : que du supérieur. Si vous n'y croyez pas, écoutez ça (l'album se commande via sa page FB :  https://www.facebook.com/Stompin-Joe-143794639050407/ )"

©chicatchic Atchic dans La Gazette Tsoin-Tsoin

 

 

"Sous ses hardes de bluesman, le guitariste Nicolas Moreau enchaîne les concerts : près de 80 dates, l'an dernier, pour Stompin'Joe, son avatar d'homme-orchestre. Et l'année 2017 est du même tonneau. Rien que cette semaine, on pourra entendre le one-man-band à deux reprises, dans la Vienne : ce soir, au Bibliosik organisé en préambule du festival Mélusik, et vendredi, au festival Availles Blues.

Avec sept invités

La plupart du temps, il est seul sur scène ou seulement accompagné de son ex-complice d'Opa Tsupa, Mickaël Talbot. Mais pour son nouvel album, qui sort ce mois-ci, Stompin'Joe s'est entouré d'une foule d'invités. Sur le morceau « From Memphis to New Orleans », par exemple, on retrouve ainsi Cajoune Girard au washboard, Marc Antony au trombone, Guy Bodet à la trompette, Thomas Couvrat à la clarinette et Michel Delage au soubassophone. Sur « Going your own way », Nicolas Moreau est accompagné du contrebassiste Stéphane Barral et du violoniste Igor Tellier.
« Ce sont des compositions blues ou mélangeant blues et swing, voire blues et country, explique le guitariste poitevin. C'est une ambiance très roots, avec beaucoup de guitares, évidemment, mais je voulais aussi des cuivres, un violon ou une contrebasse pour créer des ambiances différentes de ce que je fais en concert. » Les treize morceaux instrumentaux sont des compositions originales et ont été enregistrés, sur deux ans, dans le studio de Richard Puaud, à Montamisé. « Un disque d'homme-orchestre seul n'est pas forcément intéressant car il manque toujours l'aspect visuel : le côté pieuvre si spectaculaire, poursuit Nicolas Moreau. Là, c'est pensé pour être écouté plutôt que vu. L'enregistrement en studio, sur plusieurs pistes, m'a permis aussi de mêler des instruments que je ne peux pas jouer en même temps. » Comme sur « Born in the Delta », duo de guitare acoustique et de dobro slide, ou « Mandolin Rag », qui superpose mandoline et guitare."

©Laurent Favreuille in "La Nouvelle République" 06/06/2017

 

 

 

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Vente Par Correspondance: en envoyant un chèque de 15 euros à l’ordre de " SANS PROVISION" à l'adresse suivante :

Association Sans Provision Prod. 

5 rue de l'aumônerie

17520 Archiac

Vente à la fin des concerts

Disponible aux Mondes du Disque à Poitiers

 

Présentation l'album dans la presse:  ici

 

 

 

Chers amis, je souhaitais vous parler un peu du personnage extraordinaire que j'ai eu la chance de rencontrer la semaine dernière.
Jacques Morgantini habite à Gan dans une petite bourgade près de Pau.
Âgé aujourd'hui de 93 ans il est passionné par le blues et la musique noire américaine depuis sa jeunesse.
A une époque où les bluesmen noirs américains sont encore totalement inconnus en Europe et pour la plupart d'entre eux, encore ignorés aux USA, Jacques Morgantini organise leur venue en France.
C'est ainsi qu'en 1951 Big Bill Broonzy fait un séjour chez lui à Pau et se produit sur les scènes locales. Les années suivantes et aussi incroyable que cela puisse paraître , c'est Muddy Waters, Sister Rosetta Tharpe, John Lee Hooker , Johnny Shines , Memphis Slim, T Bone Walker qu'il va recevoir chez lui.
Les géants du Blues se succèdent dans son petit salon, il les enregistre au coin de la cheminée avec un magnétophone à bande et collecte leurs témoignages, apportant ainsi à la culture blues une somme considérable d'informations.
Grâce à lui certains musiciens américains comme Magic Slim qu'il sera le premier à enregistrer, vont être découverts dans leur propre pays et débuter ainsi une carrière internationale.
Cette année, Jacques Morgantini recevra un Blues music Award à Memphis pour l'ensemble de son travail.
Il est d'une drôlerie, d'une érudition et d'une gentillesse incroyables et je suis encore sidéré d'une telle rencontre.
Je vous conseille vivement l'achat de l'excellent documentaire qui lui est consacré : " Mémoire de Blues" réalisé par Jacques Gasser (à gauche sur la photo) et disponible sur internet .
Un teaser ici : https://youtu.be/mbww25ltYMg
– avec Jacques Gasser.

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Stompin'Joe est un chanteur de blues encore vivant et même plutot en forme. Stompin' Joe chante les classiques du Blues, du Swing et du Folk en s'accompagnant d'une guitare, d'une grosse caisse, d'une cymbale Charleston, d'un harmonica et d'un kazoo.

Le but est de produire à un seul musicien, le son d'une formation complète comme le faisaient les maitres du genre: Joe Hill Louis, Jesse Fuller. 

 

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Intimement lié au contexte socioculturel qui l'a nourri, le blues est une musique qui permet d'aborder de nombreuses thématiques : l'esclavage, les droits de l'homme, le statut de la femme, le métissage, l'urbanisation, le dialogue entre générations...

 

Les musiciens vagabonds furent les premiers à refuser le nouvel ordre et se jetèrent au hasard sur les routes, guitare à la main, chantant leurs joies et leurs peines, de ferme en ferme et de ville en ville, montrant l’exemple d’une vie libre et aventureuse.

 

De cette errance solitaire ils firent une règle qui structura l’ensemble de leur comportement. Peu à peu, le blues, simple littérature chantée d’une communauté opprimée, devint une philosophie de la vie en liberté, une éthique du choix personnel que la musique rock répandit sur toute la planète.


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©Moricette Schlosser

 

 

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23/03/2015
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