Nicolas Moro

Nicolas Moro

Le blog au fil des jours

 

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SEPTEMBRE 2019

"Du mal à se taire" en duo avec Sanseverino fait partie des 40 titres de la playlist sélectionnés par Spotify pour representer la "chanson alternative" avec Bazbaz, Alexis Hk, Oldelaf, Gaetan Roussel, Tété etc...
Vous pouvez pour 1 euro, acheter le titre déjà écouté 20 000 fois en quelques jours et ainsi participer au financement du clip dont le tournage aura lieu à l'automne.

 

 

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Crédit photo: Armelle Dousset 2018

 

 

La chronique d'Alain AJ-Blues
Rédacteur en chef adjoint – Paris-Move

Avril 2019 (lien ici)

 

D’emblée, la cover de cet album surprend par son audacieuse originalité. Comme dans le regard de l’illusionniste, se lit dans les yeux de l’artiste une délicieuse malice, tout comme dans l’intitulé de son opus, ‘L’amour est un oiseau volage’, qui laisse présage à quelques libertinages. Quand au volatile de basse cour, serré au cou et déplumé, il fait figure de marionnette ayant perdu tout son glamour, comme pour mieux se moquer du futile et de l’inutile. Loin d’être le premier venu avec à son actif un long chemin déjà parcouru, Nicolas Moro sort des entiers battus, à cent lieues des ‘m’as-tu-vu’ dont certains médias nous bassinent à longueur d’année, faisant que maintes et maintes fois nous avons les oreilles rebattues.

 

Nicolas Moro, auteur compositeur et multi-instrumentiste, ne s’embarrasse pas de préjugés, laissant libre cours à sa générosité et ses traits d’ingéniosité pour que prône en toute liberté une belle identité. Il écrit textes et musiques, redore le blason de la langue de Molière et sa poésie libère la magie des mots simples du quotidien, ces ‘petits riens’ qui nous font tant de bien. Jamais le verbe conjugue l’insolence, mais avec une déconcertante aisance il s’accoquine pour flirter avec les mots non dépourvus d’innocence.
Nombreux sont les atouts majeurs de cet album! Multiples sont les terres de contraste de l’artiste, car il nous bluffe dans la cinquième dimension de son univers intemporel, ouvrant quelques fenêtres sur le passé tout en laissant la porte grande ouverte sur le présent. Chacune des 12 compostions de Nicolas Moro donne vie à une fresque où se côtoient l’émotionnel et parfois le burlesque. Tant la palette musicale est variée, elle n’engendre pas la monotonie, tant les textes non dénués d’humour et de tendresse sont superbement ciselés, il n’engendrent pas la  mélancolie.
Dès ce premier titre, ‘Twist à mourir’, première invitation au voyage, la voix et les riffs endiablés de la Gibson vous embarquent au coeur des sixties pour un bon vieux rock ‘n’ roll, quelque part entre les rives du Missouri et du Mississipi. Exaltés, les cheveux ébouriffés, vous sortez de cette Chevrolet aux chromes rutilants, vous faites une grande enjambée en avant. Changement de décor, elles sont loin les belles filles et les guitares, tout comme le perfecto, la brillantine, le blouson noir et la bagarre. Vous entrez dans le monde du surréalisme, vous passez à l’heure d’hiver. Nicolas Moro endosse le costume dudit affreux, pour une complainte avec quelques accords de Jazz manouche. Cette chanson est à prendre au second degré, car l’humour un peu décalé fait ressortir toute la beauté du texte. Jugez par vous même, évoluez sur quelques pas de Tango et laissez-vous emporter. Respirez, voici la vidéo du titre ‘Le destin des affreux’.
Pour regarder la vidéo cliquez ICI

Le vent souffle à nouveau dans la grande plaine. Nicolas Moro y vivait heureux, solitaire comme un John Wayne dégainant sa ‘Winchester’, titre de cette chanson. Il suffit d’un peu d’imagination pour retrouver Bob Dylan trainant ses bottes aux côtés de Pat Garret et de Billy the Kid dans un western de Sam Peckinpah. Nicolas joue de différents instruments, guitare, banjo 5 cordes, lap steel, dobro et mandoline pour que ce poignant country blues, métaphore où l’hirondelle et l’indienne ne font qu’une, vous fasse frissonner d’étonnante façon, car vous vous en doutez, l’amour est un oiseau volage qui ne vit pas longtemps en cage.
Cette chanson suivante, ‘Une Ombre’, est une réflexion un peu sombre sur le train-train du quotidien dont certains d’entre vous connaissent sûrement la servitude sous l’indifférence des regards. “Le long des rames déambule un cortège de somnambules. La même absurde transhumance qui chaque matin recommence.”
Gardez la pêche, le ‘Montmorillon Swing’ va vous redonner une banane d’enfer! Ce titre est une délectation à consommer sans modération. Il me semble même entendre rire aux éclats, frapper fort dans ses mains, battre la mesure et applaudir, tout là haut, notre incontournable et regretté Coluche. Lorsque la dérision frise un semblant de réalité, notre clown adoré au nez rouge et au gros coeur est toujours présent pour apprécier. Voici la vidéo, prenez garde à la marche en descendant du train et enivrez-vous jusqu’à la lie!
Pour regarder la vidéo cliquez ICI

Sublime est ce texte, ‘Le dernier rang’, tant la poésie épouse l’amertume d’une tranche de vie dans l’attente d’une promise qui semble inaccessible: “Tu cèdes au baratin du dernier des crétins qui te promet du vent et me passe devant. Tu succombes aux avances bien que je le devance d’un autre qui ne promet rien, mais qui le fait si bien.”
Guitare, mandoline et banjo se font complices, rieurs et roublards en toute impunité sur cette chanson: ‘Je fais des affaires’. Ne refusez pas l’invitation, tant elle vous tend les bras, venez danser la java, non pas du côté de Broadway, mais sur les quais d’une station du métropolitain. Humour quand tu nous tiens: “Lorsque les souris tortillent nonchalamment du valseur, du côté de la Bastille, je relève les compteurs. Moi j’vis avec mes combines, je fais des affaires.”
Tel un intermède, ‘Encore un peu’ est une ballade nostalgique sur le temps qui passe, même si vous ne croyez plus en l’homme ni en Dieu, même si les années ont blanchi vos cheveux, vous espérez encore un peu.
Ambiance piano bar et rencontre avec ‘Le convive’, personnage qui ne sait se tenir. L’indélicat avoue: “Si vous voulez mon opinion, j’ai sans doute un peu abusé de ce fameux Dom Pérignon, il ne faut rien se refuser….”
Le Blues est à l’honneur avec ce titre: ‘Louise’. Un blues lent et profond qui vous tient en haleine, tant la voix, le jeu de guitare et de l’harmonica avec cette élégance de la nonchalance vous colle le frisson. Titre que ne désavouerait sûrement pas un de nos pionnier du Blues chanté en français, un certain B.B.B. pour ne pas le citer. C’est sûr, je pense, y’a pas à ‘tortiller’!
Comme par magie, vous vous retrouvez dans les années folles de l’après-guerre. Vous guinchez dans une cave du côté de Saint-Germain-des-Prés sur cette chanson ‘Dans la peau’, dont vous reprenez tous en choeur les paroles: “Il me faut te faire un aveu, depuis que je t’ai dans la peau, il n’y a plus que toi qui peux m’aider à soulager mes maux. Mon épiderme est très sensible, je n’peux pas me gratter partout. Dans les endroits inaccessibles, la démangeaison me rend fou. Si tu pouvais précisément me gratouiller ces endroits-ci, je t’en serais reconnaissant, je te gratterais moi aussi.”
Un dernier titre, un dernier contraste, une dernière festivité, avec cette chanson, ‘ça laisse à désirer’ et toujours une touche d’humour, même si certains ont des dettes à honorer, car qui paie ses dettes s’enrichit… dit-on!
Au fil des titres de cet album, Nicolas Moro est accompagné d’une vingtaine de musiciens confirmés.

 

Cet album, ‘L’amour est un oiseau volage’, est inclassable, donc incontournable. Il faut absolument vous le procurer car un vaisseau spatial s’est posé depuis peu sur notre planète bleutée, et Nicolas Moro, l’extraterrestre, appelons le ET, bouscule désormais les codes établis de la chanson française.
Pour commander cette croustillante galette, nul besoin de décrocher la lune, c’est simple, rendez-vous sur la page officielle de l’artiste: ICI et également sur son blog, au fil des jours, ICI

 

 

 

 

Le choix des rédacteurs de "NosEnchanteurs" en cette fin d'année 2018

 

Merci à Michel Trihoreau (Nos enchanteurs) qui classe « L’amour est un oiseau volage » dans ses 5 disques préférés cette année :

 

«Faux looser ou faux fanfaron, Nicolas Moro étale ses capacités sur une large palette musicale pour nous entrainer dans une apparente futilité. On se laisse berner avec plaisir tant il y a, derrière la farce, un regard sérieux, distancié et une vraie tendresse.»

 

 

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22 novembre 18

Nicolas Moro était l’invité de Delta Fm pour l’émission Pop&Rock !
Ici le podcast


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Philippe Kapp. Hexagone N°9 oct 2018

 

« Avec sa gouaille et sa voix de crooner à la Guy Marchand, Nicolas Moro nous balade d’un rock vintage des années 60 façon Chaussettes Noires ou Eddie Cochran (Twist à mourir) à une java des faubourgs (Je fais des affaires). Beaucoup d’humour et d’ironie dans ses compositions, mais jamais de prétention ni de condescendance. Cet adorateur du blues du Delta nous propose un joyeux mélange composé de musique western ou country avec stetson et winchester et d’ambiances Nouvelle-Orléans. Cela n’empêche pas parfois de légères touches plus intérieures, voire mélancoliques (Une ombre, Encore un peu). Mais ces petits accès de blues distillés avec parcimonie et joliment interprétés ne parviennent pas à nuire à la cohérence de l’ensemble. »

 

 

 

Chronique dans n° 72 FrancoFans été 2018

Le bimestriel indé de la scène francophone

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EMISSION FRANCE BLEU POITOU LIVE

Diffusion samedi  16 juin 2018

podcast ICI

 

 

 

 

REPORTAGE FRANCE 3 Poitou-Charentes

08/06/2018

Dans son premier album solo intitulé "L'amour est un oiseau volage", Nicolas Moro explore tous les styles, seul avec sa guitare ou accompagné. C'est la rencontre culturelle de ce vendredi.

 


 

 

21 avril 2018:

"NosEnchanteurs a déjà tenté de vous présenter Nicolas Moro. Mais est-il présentable ? On ne peut jamais d’une sculpture donner qu’une photo, il manquera toujours la troisième dimension. Il en est de même d’un CD. Voici donc une belle photo musicale, même si elle ne donne qu’un angle de vue du David qui défie les Goliath de la chanson. Le côté sexy qui attire le regard des dames vers le modèle de Michel-Ange est même perceptible à l’oreille, mais cela ne pourrait suffire à la réussite de l’album. Il y a beaucoup plus.

Plus que David pile ou face, on pourrait évoquer un Janus a deux visages. Nicolas Moro est aussi Stompin’ Joe lorsqu’il est tourné vers l’outre-Atlantique avec les pionniers du blues des années 30, jouant de trois instruments à la fois. Lorsqu’il a le visage de Nicolas Moro, c’en toujours un remarquable musicien, avec quinze ans d’expériences multiples qu’il a choisi de mettre désormais au service de la chanson. Il a donc rassemblé pour cet album, avec Richard Puaud aux manettes, une vingtaine parmi les meilleurs instrumentistes rencontrés dans son parcours, comme Éric Sansiquet à la contrebasse, Alban Mourgues à la batterie, Cajoune Girard… le mieux est encore d’écouter plutôt que disséquer. Chaque chanson a sa propre ambiance et pourtant l’unité de ton donne un certain caractère à l’album. Ce n’est pas la moindre contradiction apparente. Le Janus n’est pas contradictoire, il est plus complexe. Il a un champ du possible hors du commun.

Le disque commence avec un twist qui fait le grand écart sur un demi-siècle, juste pour nous dire qu’il ne faut pas prendre au sérieux les drames qui suivent. Les paroles sont d’une simplicité désarmante, on croirait de l’Aznavour. Je résume : il l’aime, elle va partir, il est triste. Bon ! Mieux vaut en rire ; mais justement c’est le but. L’autodérision est là, toujours plus ou moins dans l’ombre ou parfois au grand jour comme dans l’incontournable Montmorillon Swing, dans Winchester, ballade pathétique et désabusée ou encore Louise — on pense au héros pitoyable de Ne me quitte pas —  sur un blues bien enlevé comme il se doit. 

On ne peut appréhender le pseudo-looser d’aujourd’hui que par référence aux grands noms d’hier. Goliath a sa légende, mais David a de la ressource. Nicolas connaît la musique, et il a aussi une solide culture de la chanson. Il parle en privé aussi bien de Bernard Dimey que de Sansévérino, et sous le vernis de la dérision, on trouvera toute la profondeur humaine qui se cache timidement dans le second degré.

Pour le mouvement, Jazz New-Orleans, calypso, swing, il sait tout faire et même un tango mandoliné napolitain pour cerner Le Destin des Affreux, qui ne sont pas laids seulement pour l’apparence…

Et quand il sort de l’Ombre pour reprendre son sérieux, on sent du J-R. Caussimon dans son tableau :

Le long des rames déambule
Un cortège de somnambules
La même absurde transhumance
Qui chaque matin recommence

Nicolas Moro affirme volontiers faire des chansons variées, accessibles, avec des termes simples et des mélodies évidentes. On se surprendrait en effet à siffloter l’un de ses refrains, presque par mégarde, mais avec un réel plaisir. On sait aussi que réussir ainsi dans la simplicité suppose un grand talent et beaucoup de travail. Comment croyez-vous que David ait vaincu Goliath avec un simple caillou ? " Michel Trihoreau (NosEnchanteurs, Le Quotidien de la Chanson)

 

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Nicolas Moro : dandy punk à l'humour ravageur, aux textes ciselés toujours justes, drôles ou tendres, à la Gibson aux accents bluesy-folkeux-andalouseux-twisteux-rock'n'rolliens, pétri de générosité et qui t'embarque un public d'une voix grave et belle....Ce garçon a un énorme talent.
Merci Nicolas pour ce concert, le public unanime pour dire que ça fait du bien, et l'asso pour te garder une porte ouverte permanente au sein de "Comme à la Maison".

(Pellegrue 22/04/18)

 

Crédit photos: Annie Coudert

 

 

Article dans la Gazette Tsouin Tsouin

16 avril 2018

 

 

"— Et sinon, c’est quoi comme genre ?
— Je sais pas… chanson française ?
Le swinger de Montmorillon n’a pas la classe Bobby Ewing, ni son standing ni son brushing, mais avec le smoking de Dick Rivers, ça passe. Son premier album vient de sortir et c’est du supérieur. Avec du twist, du tango, de la country, du blues, de la java, du 'n roll, du jazz, du « rive gauche », de la biguine et même des tubes. Sans parler de textes formidables. Mais vraiment formidables. Je ne sais pas bien à quoi ressemble la chanson française ces jours-ci mais, si tout était bien organisé, ce devrait être à "L'Amour est un oiseau volage", le premier opus de Nicolas Moro..."

 

 

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 © label Sans Provision

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 "....SÛR que les chansons de Nicolas Moro ont de la gueule (et de l’oreille) ..." Dominique CRAVIC (le 16/04/18)

 

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Emission sur Radio Agora, 5 avril 2018

en écoute podcast ICI

 

BON APPETIT MES AMIS // SAISON 3, EPISODE 132
MIDI/13H DU LUNDI AU VENDREDI // REDIFF 19H/20H // RADIO AGORA 106.2 // www.radioagora86.fr

 

 

 

 

Tous les musiciens de l'album "L'amour est un oiseau volage"

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 de gauche à droite et de haut en bas :)
Igor Tellier : Violon, chœurs
Thomas Couvrat : Clarinette, chœurs
Cajoune : Washboard, chœurs
Richard Puaud : Prise de son et mixage
Nicolas Moro : Chant, guitare, mandoline etc...
Un poulet mort.
Pascal Denis : Piano
Éric Sansiquet : Contrebasse
Jean Carmet et son vélo (Bon c’est pas vrai, mais j’avais une case à remplir et j’adore Jean Carmet)
Patrick Ingueneau : Chœurs
Mickaël Talbot : Chœurs
Tony « Raoul » Ribo : Banjo Ténor
Gaël Pététin : Batterie
Mimile Bodet : Trompette
Stéphane Barral : Contrebasse
Pascale Berthomier : Violoncelle
Pascal Peroteau : Sax Baryton
Marc Antony : Trombone
Manou Lefeuvre : Accordéon
Sebastien Girard : Contrebasse
Alban Mourgues : Batterie
Michel Delage : Soubassophone
La table de mixage de Richard Puaud
Éric Proud : Accordéon

 

 

 

 

Le grand invité de France Bleue Poitou le 23 janvier 18:

en écoute ICI

 

 Dans la presse: (clic sur le lien ci dessous)

Nouvelle République 23 janvier 18

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De gauche à droite: Alban Mourgues (batterie), Nicolas Moro (chant, guitares), Eric Sansiquet (contrebasse)

Extraits de concert Eté 2017 (Marigny 86)

Avec Eric Sansiquet à la contrebasse et Jérôme Bellicaud à la batterie

La presse spécialisée en parle !!

Ici article du magazine "NOS ENCHANTEURS, LE QUOTIDIEN DE LA CHANSON"

10/06/2017

Le Moro de Montmorillon

Sorti d’Opa Tsupa, une espèce de bric-à-brac gypsy-swing burlesque, où il a travaillé son art pendant quinze ans, Nicolas Moro s’est lancé tout seul, à sa manière, avec une guitare en bois, une gestuelle adaptée, une gueule de séducteur qui n’y croit pas, une simplicité d’apparence qui cache un réel talent de musicien et d’auteur.

Il fait ses chansons tout seul, se présente tout seul sur scène et personne ne s’en plaint. On a l’impression, lorsqu’il arrive, que le public va le manger tout cru. S’il joue les fanfarons, personne ne le prend au sérieux et c’est précisément ce qu’il veut. Il nous a bluffés et très vite on rentre dans son jeu. Le faux looser est un vrai pro. Il n’a pas la voix d’Otis Redding, il n’a pas le son de Led Zeppelin, mais il a bien plus que le Montmorillon swing. On a l’impression qu’il s’est nourri de rock, de zouk, de salsa, de musette, de tout ce qui peut agiter les pieds et le reste. C’est étonnant comme une simple guitare peut créer une telle fête. Il faut croire qu’elle est en bonnes mains.

Ne vous fiez pas à son style de chanteur pour feux de camp ou pour soirées entre copains. Cette apparente décontraction n’est là que pour mieux vous étonner lorsque vous écoutez ses chansons. Le verbe est précis, vif, direct, avec une touche de poésie. On pense davantage à Boris Vian qu’à Mallarmé, et c’est tant mieux. Il puise ses chansons dans des tranches de vies qui sentent le vécu. L’anti-héro de BD qui s’y exprime est-il compatible avec le chanteur exigeant et talentueux qui les met en scène ? Oui, sans doute, puisque ça marche.

Parti de Montmorillon pour tourner avec Opa Tsuma dans les plus grands festivals en France et ailleurs, il repart en solo, dans la proximité de ces petites salles qui résistent, là où l’on peut échanger les regards, où la connivence et la complicité savent dégager l’essentiel de la chanson.

Nouveau clip !
Réalisation : Armelle Dousset

 
 
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Les chansons de Nicolas Moro racontent des histoires.

Des histoires toutes simples, poétiques et attachantes, pimentées de cet humour caustique qui crée immédiatement une complicité avec l'auditeur.

Instrumentiste émérite, seul en scène avec sa guitare, il interprète de sa voix chaude et mélancolique des textes remarquablement bien ciselés, portés par l'élégante efficacité de ses mélodies.

Un auteur compositeur interprète qui s'inscrit dans cette tradition où paroles et musique font corps pour donner vie à des chansons populaires de grande qualité.

 

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©Photo Manuel Vimenet . Graphisme: Amandine Alamichel
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 Rencontre avec Nicolas Moro. France 3 (3 mai 2016)

 Reportage France 3 making-off du clip

 

Article dans "la Nouvelle République" 1

Article dans "la Nouvelle République" 2

 

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LE CD 4 TITRES

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..."Il y a dans les chansons de Nicolas Moro comme une évidence de la pièce achevée, comme une simplicité d'apparence qui cache un travail méticuleux et précis.

Musicien d'expérience, en quelques notes, il conquiert l'auditeur par ses dons de mélodiste et ses textes ou l'humour laisse transparaitre  son amour du mot juste,  et son approche ludique du langage.

 Des histoires de " loser magnifique " qu'il interprète de sa voix chaude, posée et sans effets superflus, soucieux de mettre en valeur la qualité de chaque couplet sans avoir besoin d'en donner une interprétation artificielle pour faire diversion.

 Nicolas Moro s'inscrit dans la tradition des auteurs compositeurs interprètes aux univers immédiatement reconnaissables, qui abordent la chanson populaire avec un soin quasi artisanal, désireux de présenter des œuvres qu'on retient tout de suite et dont on ne se lasse jamais." S. Abdoul.

 

©Sylvia Vasseur

 

 

 

Article Nouvelle République (juillet 15)

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29 & 30 avril 15 au LIMONAIRE. Paris 9°

Avec Nicolas Jules

©Maité

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23/03/2015
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